Sida, syphilis, herpès génital, chlamydia… sont, entre autres, les maladies sexuellement transmissibles (MST) et qui sont encore trop souvent présentes, malgré les campagnes de prévention. Autrefois appelées maladies vénériennes, les MST se transmettent lors des rapports sexuels non protégés, avec ou sans éjaculation. Ces infections peuvent survenir aussi bien lors de relations sexuelles vaginales, anales que bucco-génitales. Les jeunes et surtout la junte féminine sont les plus touchés par ces MST. Cela peut être dû à la sexualité précoce, mais aussi au vagabondage sexuel de la part de certains jeunes. Pour ce faire, il est d’abord recommandé aux parents de parler et de conseiller leurs enfants sur la sexualité. Quant aux jeunes qui ne peuvent pas s’abstenir de rapports sexuels jusqu’au mariage, ils devraient utiliser le préservatif. Parce que l’usage du préservatif reste, à l’heure actuelle, le seul moyen de se protéger des MST. Avoir une hygiène corporelle correcte limite les risques de transmission de parasite de la peau : gale, phtiriase. Mais vous pouvez être propre vous-même et être contaminé, il ne faut donc pas balayer l'hypothèse de ces parasitoses pour ce motif. Il faut limiter le nombre des partenaires. L’idéal c’est d’avoir un seul partenaire, ce qui signifie la fidélité. Mais en cas d’infection, il serait mieux de consultez votre médecin généraliste dès que vos organes génitaux vous semblent anormaux, si des écoulements étranges apparaissent ou si une gêne se fait sentir. Enfin, il est aussi indispensable de soigner les deux partenaires, afin d’éviter ainsi les nouvelles MST.
Valérie TIANHOUN