LE VIN : Ses effets  sur la  santé

by Votre Santé Magazine

Le vin est bon pour le cœur

 En buvant un ou deux verres de vin par jour, le risque d’affection cardiaque diminuerait de 20 à 30 %, selon une étude publiée en 2000 (1). De plus, l’éthanol contenu dans le vin augmente le « bon cholestérol », et les polyphénols empêchent le « mauvais cholestérol » de pénétrer dans la paroi artérielle. Ces derniers ont, de manière générale, des effets positifs sur plusieurs facteurs de risques de maladies cardiovasculaires.

 Il prévient le diabète de type II

 Ce type de diabète se déclare à l’âge adulte et affecte 2,5 millions de personnes en France. Des études ont montré que les buveurs modérés développent moins de diabète de type II (2).

 Le vin rouge aide à lutter contre les caries

 Selon une étude publiée dans la revue scientifique « Journal of Agricultural and Food Chemistry », le vin rouge protégerait des bactéries à l’origine des caries, gingivites, ou du déchaussement des dents. Les polyphénols, antioxydants présents dans le raisin, seraient à l’origine de ce phénomène en ralentissant la formation de plaques dentaires.

 C’est un antibiotique naturel

 D’après une étude de l’université d’État de l’Oregon, le vin serait un antibiotique naturel capable de venir à bout des bactéries E. Coli et Salmonella. L’alcool rend perméable la paroi de la cellule bactérienne, et permet aux acides contenus dans le vin de pénétrer dans la bactérie et de la combattre.

 Il réduit les risques d’avoir la maladie d’Alzheimer

 L’étude « PAQUID », qui a suivi pendant 24 ans 3 777 personnes de plus de 65 ans, a montré que la maladie d’Alzheimer survenait moins fréquemment chez les buveurs modérés de vin. C’est encore une fois grâce aux polyphénols, qui stimulent la production de monoxyde d’azote. Le vin rouge est celui qui en contient le plus.

 Il est responsable des migraines

 Une étude réalisée en 1988 a montré que 9 personnes sujettes aux migraines sur 11 en développaient une, après avoir bu du vin. Ce sont les sulfites présents dans le vin qui en seraient la cause.

 Une consommation excessive annule les effets bénéfiques

 Les résultats positifs cités ci-dessus se sont observés chez les buveurs modérés de vin. Les risques augmentent considérablement à partir de deux verres par jour chez une femme et trois chez un homme. De plus, comme tout alcool, une consommation excessive augmente les risques de dépendance et des affections hépatiques.

 Il est également conseillé de consommer du vin bio, qui ne contient pas de pesticides cancérigènes et toxiques pour la reproduction et le système nerveux.

 Source : Passeportsanté

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